LA PHYSIQUE MARIANIQUE
La physique quantique
La physique quantique – la science des crapauds siffleurs
Première partie – Ce qu’ils en disent
La physique quantique est une révolution ontologique Étienne Klein
Le monde n’est pas classique, il est fondamentalement quantique Sean Carroll
Rien n’existe jusqu’à ce que l’on mesure Niels Bohr
La dualité onde-particule est impossible, absolument impossible, à expliquer d’une façon classique Richard Feynman
Un photon décide quelle route emprunter après avoir finalisé son parcours John Wheeler
Les atomes or les particules élémentaires ne sont pas réels ; Ils forment un monde potentiel plutôt qu’un monde de faits Werner Heisenberg
Quand on fait une mesure, on force le monde indéterminé, indéfini à assumer une valeur expérimentale. On ne mesure pas le monde, on le crée Niels Bohr
Les applications de la mécanique quantique incluent les semi-conducteurs, le transistor, le laser, le microscope électronique et la résonance magnétique nucléaire. Une catégorie spéciale d’applications est dédiée aux phénomènes quantiques macroscopiques tels que la superfluidité de l’hélium ou la supraconductivité. L’étude des semi-conducteurs a mené à l’invention de la diode, du transistor et du circuit intégré, éléments indispensables de l’électronique moderne.
Le problème de la mesure
La mécanique quantique est relativement difficile à concevoir car sa description du monde repose sur des amplitudes de probabilité (fonctions d’onde). Ces fonctions d’ondes peuvent se trouver en combinaison linéaire, donnant lieu à des « états superposés ». Cependant, lors d’une opération dite de « mesure » l’objet quantique sera trouvé dans un état déterminé ; la fonction d’onde donne les probabilités de trouver l’objet dans tel ou tel état.
C’est la mesure qui perturbe le système et le fait bifurquer d’un état quantique superposé (atome à la fois intact et désintégré par exemple… mais avec une probabilité de désintégration dans un intervalle de temps donné qui, elle, est parfaitement déterminée) vers un état mesuré. Cet état ne préexiste pas à la mesure : c’est la mesure qui le fait advenir.
Non localisation
Selon la théorie les phénomènes d’interférences sont expliqués par le fait qu’une particule passe par les deux fentes en même temps.
Non localité
Avant la mesure, les particules ont une distribution spatiale large.
Dualité
En physique, la dualité onde-corpuscule est un principe selon lequel tous les objets physiques peuvent présenter parfois des propriétés d’ondes et parfois des propriétés de corpuscules.
À la suite des travaux d’Einstein, de Louis de Broglie et de bien d’autres, les théories scientifiques modernes accordent à tous les objets une double nature d’onde et de corpuscule, bien que ce phénomène ne soit perceptible qu’à l’échelle de l’atome.
Superposition
En mécanique quantique, selon le principe de superposition, un même état quantique peut posséder plusieurs valeurs pour une certaine quantité observable (spin, position, quantité de mouvement, etc.). Toute la spécificité d’un objet quantique est de pouvoir être dans plusieurs états différents à la fois : “mort” et “vivant” (comme le fameux chat de Schrödinger), “noir” et “blanc”, “actif” ou “au repos”.
Intrication quantique
La notion d’intrication quantique intervient dès lors que deux systèmes sont considérés dans leur ensemble comme formant un seul et unique système.
…
Q.F.T. (La théorie quantique des champs)
L’électrodynamique quantique est l’un des domaines les plus connus de la physique, elle couvre tous les phénomènes, en dehors de la gravitation et de la radioactivité. Elle a servi de modèle pour le développement de la théorie quantique des champs qui s’applique à toutes les particules élémentaires. Selon cette théorie, la matière solide est une vibration d’une structure abstraite, purement intellectuelle, infinie, qu’ils appellent champ.
Allô ! Non, mais allô quoi !? Allô, Allô ?! Je ne sais pas, vous me recevez ?
Deuxième partie – Ce qu’il en est
Celui qui prétend comprendre la physique quantique est soit un menteur, soit un fou Richard Feynman
Ce professeur a jeté beaucoup de brouillard sur ce sujet, et s’il continue, dans un peu de temps on ne saura plus rien du tout Mark Twain
Il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark William Shakespeare dans son célèbre Hamlet
Sur une mer agitée je guide mon navire Laurent de Médicis
La vraie logique du monde est celle du calcul des probabilités James Clark Maxwell
Et me voilà ! Le fou dont parlait Richard Feynman c’est bien moi. Je prétends comprendre la physique quantique ! Et à la fin du chapitre vous allez, vous aussi, vous sentir un peu bizarre. Un début de compréhension… ou de folie.
Parce que, finalement, dans ce domaine, les choses ne sont pas très difficiles à interpréter. Les eaux ont été troublées par les têtes brulées, non pas pour paraître plus profondes, mais seulement par incompétence. Ils n’étaient pas mal intentionnés. Ils croyaient sincèrement et profondément dans leurs inepties.
Les succès de cette théorie sont indéniables. Et pourtant la physique quantique est pour nous une boîte noire. On sait l’utiliser, mais on n’a aucune idée de comment ça marche, de ce qui est à l’intérieur.
La physique classique décrit un objet en spécifiant sa forme, sa matière, sa localisation, son mouvement quantifié par sa vitesse, par exemple, et d’autres quantités du même type. Les forces s’exerçant sur un système modifient sa forme ou sa trajectoire. Tout est clair et simple.
En physique quantique, on nous dit que l’accès est pratiquement inintelligible sans le recours à une formulation mathématique difficile. Toutes les idioties sont mises au dos des mathématiques. En réalité, c’est juste une aberration intellectuelle, d’un bout à l’autre, qui fonctionne seulement grâce à quelques relations vraies (comme l’équation de Schrödinger), mais qui sont complètement mal interprétées.
Le problème de la mesure
Le chat de Schrödinger est une expérience de pensée imaginée en 1935 par le physicien Erwin Schrödinger afin de mettre en évidence des lacunes supposées de l’interprétation de Copenhague de la physique quantique et particulièrement mettre en évidence le problème de la mesure et de la superposition.
Un chat est enfermé dans une boîte avec un flacon de gaz mortel et une source radioactive. Si un compteur Geiger détecte un certain seuil de radiations, le flacon est brisé et le chat meurt. Selon l’interprétation de Copenhague, le chat est à la fois vivant et mort !
Ah ! Ah ! Ah ! Maintenant nous devons faire une pause de 10 minutes de rire. Toute autre réaction est anormale ! Et ça, c’est le médecin qui vous le dit.
Pourtant, si nous ouvrons la boîte, nous pourrons observer que le chat est soit mort, soit vivant.
Les explications données par les « spécialistes » sont les unes plus bêtes que les autres. Ma préférée est celle où l’on nous explique que c’est la conscience d’un observateur qui détermine l’état final.
L’ambiguïté provient du fait que certaines propriétés de petites particules peuvent être modifiées (changées) dans le temps par les interactions avec le Mchamp (la inframatière). Ces propriétés sont valables uniquement au moment où l’on en fait la mesure. Mais elles sont bien réelles et bien déterminées. Il y a un substrat déterministe (mais qui répond aux lois probabilistes) pour tout phénomène quantique.
Non localisation
Un peu avant Noël dernier, je lisais tranquillement l’histoire du soir à ma fille, quand la question fatidique est tombée :
« – Papa, le Père Noël existe-t-il ?
– Euh, je ne sais pas ???!!! Et toi, qu’est-ce que tu en penses ?
– Je pense qu’il n’existe pas !
– Mais pourquoi ?
– Parce qu’il ne peut pas apporter les cadeaux aux enfants le même soir, en même temps, partout dans le monde ! »
– Ahhh ! »
Waouh ! Je suis resté bouche-bée !
On dit que la vérité sort de la bouche des enfants ! Mais attendez, nous aussi, nous avons été des enfants. Or nous, nous sommes parfois bêtes, mais bêtes à mourir de rire ! Quel est le mécanisme psychologique qui nous rend intelligents à 7 ans, capables de discriminer le réel et nous rend sots à quarante ans ? Serait-il, peut-être, le même ?!
L’électron passe à la fois par une seule fente. C’est juste son onde associée au niveau du Mchamp qui passe par les deux fentes. Le bateau, lui, ne se divise pas!
Je dis toujours, à tout le monde, que c’est moi la tête de la famille ! Seulement que ma femme en est le cou ! Et le cou pour les petites particules c’est le Mchamp et c’est lui qui tient la roue timone.
Non localité
En réalité, la bonne localisation d’une particule est une propriété définitoire.
Par la superposition des trajectoires, une particule, comme l’électron, dessine ce qui peut apparaître comme un nuage de probabilité avec des niveaux discrets.
La notion de non localité est une élucubration de Niels Bohr !
Dualité
La dualité onde-particule pour une particule de matière est attribuée à Louis Victor de Broglie, prince, puis, duc de Broglie. Selon moi, il a été le plus grand physicien français, de la même catégorie qu’Albert Einstein (pas de panique, les fanboys !). Dans sa jeunesse, il avait eu quelques idées très intéressantes, surtout avec une théorie qui proposait une onde tractrice pour une particule. Un mélange champ-matière, mais qui aurait permis, au moins, de sauvegarder le déterminisme. Mais, malheureusement, il n’a pas eu les épaules pour les soutenir devant les têtes brulées. En outre, un peu plus tard, lorsque David Bohm lui a fourni un cadre formel (facilement adaptable pour le Mchamp) pour sa théorie, il a soutenu les adversaires !!!
En fait, les expériences qui étudient la manifestation ondulatoire de la matière en mécanique quantique ne nous enseignent que d’une manière indirecte, car elles sont un phénomène associé (extrinsèque) et non pas intrinsèque.
Superposition
Quand j’étais étudiant, j’ai rencontré des jeunes filles qui m’expliquaient, très sûres d’elles-mêmes, qu’elles étaient à la fois innocentes et expérimentées. Je devais avoir beaucoup plus d’intelligence scientifique à l’époque, parce que, franchement, je les croyais, toutes. La suite et la vie d’après m’ont appris que les zones de pénombre étaient toujours… très claires quand on utilisait le révélateur adéquat.
Souvent, les états superposés se réfèrent aux ondes associées aux particules, des fois à une propriété (attribut) mixte de la macromatière et de l’inframatière. La partie imaginaire de la fonction d’onde appartient, probablement, au Mchamp.
Dans la mémoire collective populaire, le principe est bien connu. On dit que là où il y a beaucoup d’intelligence, il y a également beaucoup de bêtise. Mais le peuple distingue bien les contextes qui sont différents. Parfois on est intelligents, parfois, bêtes, mais jamais les deux en même temps.
Intrication quantique
L’intrication quantique est la réponse contemporaine à une pratique occulte d’origine africaine, la magie vaudou. Elle mêle les éléments de la nature et les esprits surnaturels. Sa pratique est basée sur l’invocation des démons et les actes symboliques de destruction (enfoncer une aiguille dans une poupée qui représente la victime, mettre une corde au niveau d’un cou d’une statue qui représente la personne visée).
Selon la théorie actuelle, deux particules intriquées ont le même comportement. Toute action sur l’une d’entre elles a un retentissement instantané sur l’autre, indépendamment de la distance qui les sépare. Alain Aspect a été le premier à bien porter une expérience qui semble prouver le phénomène.
En réalité, les deux particules sont juste synchronisées, en phase et partagent la même fonction d’onde. Elles peuvent changer en même temps de propriétés par l’interaction avec le Mchamp.
Principe d’incertitude (d’indétermination)
Dans un cours de M.I.T., le professeur disait que pour ceux qui avaient grandi avec le déterminisme newtonien, la mécanique quantique devait leur faire mal. Et c’est vrai. Ça fait mal, très mal, mais pas au cœur, au cerveau ! Je ne sais pas vous, mais moi, quand j’entre en contact avec la bêtise humaine, j’ai des migraines pendant des semaines. Comme mon grand-père me le disait, de plus, elle est très contagieuse.
Le principe de Werner Heisenberg a engendré une mutation essentielle dans les sciences sociales, politiques et surtout en philosophie. Le monde devient indéterminé, imprévisible. Tous les « grands » de l’époque ont intégré cette nouvelle perspective de la réalité dans leur œuvre. Tout est permis pour l’imaginaire car toutes les barrières ont été levées.
En gros, ce principe affirme que le monde n’est pas déterministe, que les particules n’ont pas de trajectoire bien définie, mais elles empruntent toutes les trajectoires possibles.
Einstein a énoncé un principe similaire pour la relativité, le principe d’équivalence : dans une petite région de l’espace, aucune expérience ne peut distinguer entre la gravitation et l’accélération uniforme.
Moi j’énonce le principe d’impotence : on ne peut pas, à ce moment, déterminer les lois de l’inframatière par des méthodes exclusivement macroscopiques.
On n’est pas assez performants pour faire des mesures suffisamment précises. C’est tout.
L’indéterminisme est une élucubration de Werner Heisenberg !
Q.F.T. Quantum Field Theory (la théorie quantique des champs) ou La science des crapauds siffleurs S.C.S.
Actuellement Q.F.T. est la théorie cœur de la mécanique quantique. Elle préconise l’existence des particules comme une vibration d’un champ quantique. Imaginez-vous au bord d’un lac en train d’écouter un crapaud siffler. Il y a en mathématiques un théorème élaboré par le français Jean Baptiste Joseph Fourier qui dit que toute relation périodique peut être décomposée dans une série infinie de fonctions sinusoïdales. Alors nos physiciens font la décomposition du signal sonore du crapaud et mettent la conclusion selon laquelle sur le lac il y a une infinité de crapauds qui sifflent. Ça va très bien si on veut analyser la chanson, mais si jamais, on se propose d’aller à la pêche, en vue de la préparation d’une soupe aux crapauds pour le dîner, on se trouve en impasse. Ils font pareillement pour étudier les signaux de la matière et ils concluent que la matière solide est une vibration d’une structure abstraite, purement intellectuelle, infinie, qu’ils appellent champ. On peut envisager avoir un fonction d’onde universelle seulement pour le Mchamp.
Finalement, ce que l’on appelle emphatiquement mécanique quantique peut être considéré seulement une sous-classe de la physique newtonienne, car elle répond aux mêmes principes de réalisme et déterminisme.