La physique néoclassique - présentation

Depuis 1905, la physique a perdu son âme, le contact intime avec la réalité et la raison. L’époque moderne a apporté une révolution, un changement profond dans les représentations que l’on se fait du monde.
Mais la vielle physique classique newtonienne fait de la résistance, elle n’a pas encore dit son dernier mot.
Tout au long de cet article, nous allons montrer que celle-ci apporte une réponse élégante, claire et précise aux questionnements actuels de la physique. Malgré les apparences, elle reste conforme à toutes les données empiriques, expérimentales, qu’elle peut expliquer en gardant une exigence de réalisme et rationalité.

Préambule – Un siècle de délire collectif
La physique néoclassique (marianique) représente une extension de celle newtonienne par une nouvelle classification de la matière en deux classes : la matière macroscopique (barionique, structurée) et la inframatière. Cette division se fait par rapport à la capacité de déterminer des interactions gravitationnelles à distance. C’est la force de gravité qui divise et règne.
On reprend les relations principales comme les équations du champ gravitationnel Grossmann-Einstein, celle de Schrodinger et, par cela, la plus grande partie des résultats théorétiques et expérimentaux actuels mais avec une interprétation et utilisation
complètement différente. Elle est réaliste, déterministe, locale et surtout rationnelle.

 Les lois des phénomènes que l’on observe sont une composition des lois au niveau de l’inframatière (transformation de Lorentz, interférences des ondes quantiques…) et des lois au niveau de la macromatière (transformation de Galilée, cinématique newtonienne…). Les premières apparaissent souvent comme des perturbations pour les deuxièmes, tandis qu’en réalité elles représentent plutôt une sous couche effectrice.
Si en mathématiques, une relation revient par transformation à une tautologie de genre a = a et on compare ce qui est comparable, en physique on a inventé les constantes physiques par lesquelles on relie des choses improbables a = k*b. L’hyper-confiance dans les équations sans se soucier de leur interprétation correcte est la source des erreurs invraisemblables. Actuellement, la physique est mise à mal par des contradictions fondamentales (énergie noire, matière noire, incompatibilité entre la relativité et la mécanique quantique, constante d’expansion Hubble multiple) qui ne peuvent plus être cachées.
La physique moderne utilise des concepts extraordinaires (courbure de l’espace et du temps, addition des vitesses modifiée, dualité onde – corpuscule, intrication quantique, superposition, non-localité, multidimensionalité spatiale etc ) mais totalement en contradiction avec le sens commun et avec les principes établis, classiques de la science. Si on les regarde par un prisme de raisonnement classique (newtonien), ces idées nous apparaissent comme irrationnelles, absurdes, stupides même, un siècle de délire collectif. Ce nouvel paradigme a transformé l’esprit des nouvelles générations de physiciens, auxquelles on a appris « à penser contre leur cerveau », en les enfermant dans une bulle cognitive. C’est la raison principale pour laquelle une clarification conceptuelle de la physique théorétique ne peut pas être initiée uniquement de l’extérieur, par un « néophyte ». Même si je n’ai pas des études approfondies en physique et je possède quelques lacunes dans le domaine, je peux apporter une vision fraiche, originale et claire. Après avoir compris la logique intime du raisonnement de Newton, je me suis permis de continuer son travail et de le compléter. On peut regarder loin, assis sur ses épaules.

 

 

  1. La structuration catégorielle de la réalité
    La réalité physique peut être modélisée par une algèbre de catégorie 3.
    L’algèbre de la physique contient deux catégories objectives (discrète et « continue ») et une relationnelle (relation Lelong).
    Ces catégories sont : La Matière, L’Espace et Le Temps.

  2. 1 La Matière
    La matière est classée en physique néoclassique en deux classes : la matière macroscopique (baryonique, structurée) et la inframatière. La plupart de la matière infrascopique se trouve sous forme de champs de particules : le Mchamp (Mariuschamp ou Matérielchamp).

Champ en physique moderne                        Mchamp en physique néoclassique

immatériel

matériel

continue

Corpusculaire (discrète)

 Le Mchamp Temporel (ou Quantique) interagit avec la macromatière en modulant les phénomènes physiques (par exemple, les désintégrations atomiques).


1.2 L’Espace
Newton décrit deux propriétés majeures dans le Scolie des définitions : l’espace absolu est similaire ou homogène et immobile. Il est inerte par rapport à la matière, une scène, réceptacle de toute la matière et qui lui préexiste. Plus précisément, cet espace est un espace tridimensionnel vérifiant les propriétés de la géométrie créée par Euclide. Alors que Galilée avait affirmé que « le livre de la nature était écrit dans le langage mathématique », Newton alla donc même jusqu’à décrire l’espace comme un objet mathématique. Sa mécanique allait même être si complète et efficace pour décrire les phénomènes observables que l’on comprit que l’affirmation de Newton était une vérité absolue sur la nature de l’espace.


1.3 Le Temps
Le mot temps est celui qui est le plus utilisé dans une langue. Et pourtant, personne ne sait le définir. Quel paradoxe, n’est-ce pas ? Autrement dit, le plus commun des mots n’a pas de compréhension rationnelle. Comment est-ce possible ? C’est parce qu’il s’agit d’une notion élémentaire, fondamentale à la compréhension de la réalité et sa définition nécessite une intelligence quasi infinie.
Le temps universel est la relation ordonnée entre la matière et l’espace. (relation Lelong)
Imaginez un système des particules statiques! Pour cela il n’y a besoin ni de temps, ni même d’espace pour les décrire. Il s’agit juste de remarquer qu’il existe quelque chose plutôt que rien du tout. Maintenant, on va imaginer que, tout à coup, quelque chose leur a insufflé la volonté de bouger (ou on met de l’énergie dans le système). Pour décrire la relation entre les particules et l’espace, on a besoin d’un paramètre supplémentaire et ce paramètre c’est le temps.
Pour décrire l’intensité des phénomènes dans une portion de l’univers (un système), on doit la comparer à un paramètre universel, global. Newton a trouvé un tel paramètre, qui est une fonction dérivée du temps. C’est l’écoulement du temps, ou l’échelle du temps, ou encore le temps newtonien.
 Compte tenu de la loi de conservation du moment cinétique, on obtient que la distance cumulative parcourue par les particules est une relation linéaire, biunivoque sur des domaines larges à un mouvement libre (à son échelle spatiale).
Une seconde passée du temps newtonien vous indique que la matière a parcouru cumulativement « un mètre » à l’échelle universelle. (relation Lelong-Newton)

 

  1. La lumière
    Newton avait développé une théorie purement corpusculaire de la lumière. Mais, depuis plus de deux siècles, depuis les expériences de Young (1801), personne ne doute plus de la nature ondulatoire de la lumière. Personne…, sauf un gaulois réfractaire.
    Le photon génère à son passage une onde dans l’éther (comme le bateau sur l’eau) qui passe par les deux fentes et qui se diffracte. La trajectoire finale du photon est influencée par cette onde (comme celle d’un surfeur sur les vagues). Le photon lui, passe bien sûr par une seule fente. D’ailleurs, dans toutes les expériences d’optique interférométrique, les physiciens étudient, sans le savoir, les propriétés de l’éther luminifère et non pas celles de la lumière (du photon).
    La lumière a une nature corpusculaire exclusive. (relation Newton- Lelong)
    Malheureusement pour Einstein, l’éther luminifère existe bel et bien (le Mchamp électromagnétique). Par l’interaction avec le Mchamp temporel, l’onde électromagnétique (générée au passage du photon) change de forme et devient asymétrique. Elle est soumise à l’addition “relativiste” des vitesses (aux transformations de Lorentz). Le photon lui est soumis à l’addition classique des vitesses (aux transformations de Galilée). Comme règle générale, les aspects ondulatoires “de la lumière” (un épiphénomène) sont soumis à la relativité et les aspects corpusculaires de la lumière sont soumis à la physique newtonienne. L’amalgame entre les deux phénomènes mène à l’interprétation aberrante des données empiriques.
    Le photon est soumis à l’addition classique des vitesses. (relation Lelong – Newton) L’onde électromagnétique est soumise à l’addition “relativiste” des vitesses (aux
    transformations de Lorentz).
    (relation Lelong)

 

  1. La Gravitation
    Il n’y a aucune autre force plus mystérieuse au monde que la gravitation. Elle nous relie à l’Univers, aux astres. Et il n’y a eu aucun autre sujet mieux étudié dans la physique que cette force céleste. Et pourtant elle nous échappe continuellement. Sans surprise, la première loi de la gravitation nous a été donnée par notre maître à tous, sir Isaac Newton.
    L’idée d’un mécanisme d’action par une courbure d’un champ de potentiel est sortie la première fois par Pierre-Simon Laplace, comte Laplace, puis 1er marquis de Laplace.

Ce que la RG appelle espace-temps c’est une structure matérielle qui n’a rien en commun ni avec l’espace, ni avec le temps newtonien. C’est le Mchamp quantique (ou temporel) (le bleu sur la fig.) et le Mchamp gravitationnel effecteur (ou spatial) (le vert sur la fig.).
Le couplage entre les deux se fait d’une manière hybride, directionnelle et intentionnelle.

ρQ  cinétique = ρ0Q cinétique * radical (1-rs/r) ; rs= 2GM/(r*r) ; V(r)=V(G)+V(Q) ;

Grad G/|grad G| = grad Q/|grad Q| (relation « de connexion » Lelong )
Initialement, on a considéré la formule suivante pour approximer le potentiel résultant:
V(r)= – G*M*m*(1/r) ( a0 + a1*G*(M+α*m)/r + a2*G*(M+ α*m)/(r*r) ) avec les constantes pouvant être déterminées empiriquement.
Dans l’annexe 1, on montre comment on peut justifier et calculer le mouvement de précession du périhélie de Mercure et la déviation du rayon lumineux en champ gravitationnel.

J’ai des raisons de penser que a0=1,a1= 0 et a2= (J*J)/( c*c*G*M ), j=r*r˙ou(j+jM), α=1ou 0. (r˙=(dr/dt))                

Alors la formule finale (canonique) pour la première loi de la gravitation quantique est :
F1gq = dV(r)/dr ; V(r)= – G*M*m*(1/r) * ( 1+ a2*G*(M+m)/(r*r) ) (relation Lelong- Newton)

F1gq = G*M*m*(1/(r*r)) * ( 1+ 3*a2*G*(M+m)/(r*r))  (relation Lelong)
Cette équation est quasi équivalente à celle en forme tensorielle de Grossmann-Einstein. Les phénomènes quantiques représentent des perturbations à la force de gravitation newtonienne. La relativité générale est en réalité une théorie quantique cachée de la gravitation.

 

  1. La mécanique quantique
    Un exemple proche spatio-temporel et sentimentalement. Cette année, la France a obtenu un Prix Nobel pour la physique suite à une expérience d’intrication quantique dans les année 80. On nous dit que l’on a démontré la nature “quantique” de la réalité avec la non-localité et des possibles “actions à distance”. C’est un mensonge. Si on fait l’hypothèse que les deux particules intriquées changent de spin, en phase, régulièrement en temps, on obtient les mêmes résultats expérimentaux, les inégalités de Bell sont violées, sans avoir besoin d’aucune “action à distance”, dans le cadre de la physique classique. Cette expérience ne prouve rien.
    La réalité physique est de nature néoclassique !
    Dans l’équation de Schrodinger, l’onde obtenu n’est pas un nuage de probabilité, comme l’affirme le paradigme moderne, mais elle est bel et bien réelle. C’est une onde au niveau du Mchamp quantique (temporel) qui modifie la pression du Mchamp spatial (gravitationnel effecteur) conformément à la relation de « connexion » et par cela il modifie les trajectoires des particules. C’est un phénomène « papillon » : quand par des petites perturbations, on réalise des grands effets.
    Dans l’atome, un électron est gardé otage dans un tunnel « spatial », sur des trajectoires imposées, mais bien déterminées.
  1. L’unification entre la gravitation et la mécanique quantique
    C’est la relation « de connexion » qui fait la liaison entre le champ quantique (temporel) et le Mchamp spatial (gravitationnel effecteur).
    Grad G/|grad G| = grad Q/|grad Q| (relation « de connexion » Lelong )

 

  1. Les trous noirs
    Les trous noirs sont des vortex du Mchamp quantique spatial.
    La résolution des singularités (objet de controverse pendant des décennies) est relativement simple si on comprend que la densité d’un Mchamp est une valeur finie et même que l’on peut avoir des courbures quasi « infinies » du Mchamp spatial.

 

  1. La matière noire
    Il n’y a pas de source supplémentaire de gravitation dans une galaxie et la matière noire est une illusion.
    Il y a deux types de Mchamp effecteur pour la gravitation et donc deux forces de gravitation. La gravitation newtonienne et la gravitation marianique! La formule finale (canonique) pour la deuxième loi de la gravitation quantique est :
    F2gq = dV(r)/dr ; V(r)=-G*M*m*ln(r) * ( 1+a2*G*(M+m)/(r*r) ) (relation Lelong )
    Le deuxième type de Mchamp gravitationnel effecteur est plus sensible que le premier au Mchamp intermédiaire. Les galaxies se forment en suivant la distribution de ce type d’inframatière, le Mchamp gravitationnel de type II. C’est lui le maître des galaxies. La matière ordinaire ne fait que suivre.

 

  1. L’énergie noire
    L’énergie noire est la plus grosse erreur de l’histoire de l’humanité. À quel point ? Grosse comme trois quarts de l’univers.
    En regardant les supernovas de type Ia lointaines, les astrophysiciens ont conclu que l’univers se dilatait, qu’il y avait une expansion d’une manière accélérée par une énergie inconnue qui naît du néant.

C’est encore une fois une interprétation aberrante des données expérimentales par la sous- estimation de la vitesse relative de la lumière qui nous provient des étoiles éloignées. On prend en calcul une vitesse constante, alors qu’elle devient plus importante pour les galaxies lointaines. Et la supra-estimation de la vitesse de leur éloignement (des galaxies). L’erreur sur la nature de la lumière et la non-discrimination entre les aspects ondulatoires et corpusculaires avec l’amalgame entre les deux phénomènes mènent à l’interprétation aberrante (des données empiriques) de l’expansion accélérée de l’univers (l’énergie noire), des deux valeurs différentes pour la constante de Hubble et généralement pour une physique différente au niveau de l’univers lointain. Il suffit de « normaliser » les données pour obtenir une expansion de l’univers conformément à la loi de Hubble. (L-L0) / L0 = Vr/C par (L-L0)/L0=Vr/( Vr+C)
Et tout cela, à cause d’une addition mal… posée en 1905. La boucle est bouclée.

 

Conclusion – changement de paradigme vers le néoclassicisme
Toutes les trois théories (la relativité restreinte, la relativité générale, la mécanique quantique) qui sont à la base de la physique moderne sont fondamentalement fausses.
Par cet article, on n’envisage pas une révolution de la physique similaire à celle du début du XXième siècle, ce serait plutôt une restauration (ontologique) qui s’avère nécessaire et souhaitable. Il faut revenir aux sources, aux principes millénaires, à la sagesse de nos ancêtres, au respect de nos Traditions !

 

Bibliographie :

Isaac Newton, Philosophiæ naturalis principia mathematica